Programme en cours d’élaboration et
sous réserve de modifications
Dimanche 11 septembre
On
écoute Radio Dio 89.5
De 10 h à
12 h : Culture sans frontières : émission spéciale quinzaine animée par
l’association Numidya.
Radio Dio 20, rue Henri Dunant // www.radiodio.org
Lundi 12 septembre
Chok
Théâtre
19 h :
rencontres dramaturgiques
Anaïs
Cintas nous parle de sa prochaine création théâtrale autour du Cadavre encerclé de Kateb Yacine et François Hien,
accueilli en résidence, de Puits-Hamelin : théâtre lyrico-documentaire, inspiré de l'affaire Baby Loup, dans la tradition du
travail de troupe mené par Kateb Yacine en Algérie, dans les années 70.
Ici est la
rue des Vandales. C’est une rue d’Alger ou de Constantine, de Sétif ou de Guelma,
de Tunis ou de Casablanca. L’espace manque pour montrer dans toutes ses
perspectives la rue des mendiants et des éclopés, pour entendre les appels des
vierges somnambules, suivre les cercueils d’enfants et recevoir la musique des
maisons closes, le bref murmure des agitateurs !
KATEB, Yacine. In Le Cadavre
encerclé
Un
spectre hante la France. Le spectre de l’Algérie. Violemment conquises en
1830, les ressources naturelles de ce pays miroir de l’autre coté de la
méditerranée ont été pillées pendant 130 ans par l’Etat français.
Notre génération est légataire d’un malaise collectif, du déni, de la
peur, du tabou. On n’enseigne pas la guerre à l ‘école - du moins jusqu’en
2002 - et ce terme ne succède officiellement à celui plus consensuel «
d’événements » qu’en 1999. La découverte de l’écriture de Kateb Yacine et
notamment de sa pièce Le Cadavre encerclé est le point de départ de cette nouvelle
création. Écrite en 1956 cette pièce de théâtre revient sur le massacre du 8
mai 1945 et met en scène Lakhdar dans un soliloque poétique et puissant à la
recherche de son amour étoile, Nedjma.
Puits-Hamelin raconte l'histoire d'une communauté prise
en étau entre des tendances de fond, traversée par des débats délicats, et qui
trouvera des moyens de résilience inédits.
Ce projet
est une œuvre de fiction librement inspirée de ce qu'on a appelé l'affaire Baby
Loup, qui a défrayé la chronique pendant plusieurs années.
Son
élaboration se développe en plusieurs étapes. François Hien a d'abord mené une
enquête sur le terrain, auprès de la crèche Baby Loup, dont son récit s'inspire
directement, et à Chanteloup-les-Vignes, où l'histoire s'est originellement
déroulée. Il a rencontré les différents acteurs de cet affrontement de
plusieurs années.
À partir
de la matière recueillie, il a proposé à des comédiens et des non-comédiens de
s'emparer de cette situation et des textes qu'il en avait tirés, et
d'improviser autour de cette histoire pendant une semaine, en mai 2016, au
Théâtre de L'Élysée, à Lyon.
En
septembre 2016, dans le cadre de la Quinzaine Kateb Yacine, une deuxième
semaine de résidence aura lieu dans un théâtre stéphanois, Le Chok Théâtre,
impliquant, outre les comédiens, un certain nombre d'associations locales dont
les participants se sentent concernés par les questions abordées et souhaitent
les approfondir avec l'équipe de François Hien.
Un
troisième temps de travail collectif est prévu en décembre 2016, de nouveau au Théâtre de l'Élysée, à Lyon.
Ce
processus devrait donner lieu à deux objets distincts : une création
théâtrale, pour la saison 2017-2018, et un long-métrage de fiction. Les deux
objets prennent appui sur le même récit et le même travail de création
collective, mais auront des objectifs esthétiques assez différents : le
film se veut réaliste et très ouvert à la parole authentique d'intervenants
non-professionnels, alors que la pièce sera plus stylisée, plus poétique.
Représentations
aux Chok Théâtre les 17 et 18 septembre.
Exposition de Grégory Comitré et Mathilde Soliméo
Chok
Théâtre 24, rue Bernard Palissy
Ici est la rue des Vandales. C’est une rue d’Alger ou de Constantine, de Sétif ou de Guelma, de Tunis ou de Casablanca. L’espace manque pour montrer dans toutes ses perspectives la rue des mendiants et des éclopés, pour entendre les appels des vierges somnambules, suivre les cercueils d’enfants et recevoir la musique des maisons closes, le bref murmure des agitateurs !
KATEB, Yacine. In Le Cadavre encerclé
Puits-Hamelin raconte l'histoire d'une communauté prise en étau entre des tendances de fond, traversée par des débats délicats, et qui trouvera des moyens de résilience inédits.
Mardi 13
septembre
Médiathèque
de Tarentaize
19 h : Kateb
Yacine, un poète à l'état nu, lecture polyphonique de poèmes de
Kateb Yacine.
Le vrai poète, même dans un courant progressiste, doit
manifester ses désaccords. S’il ne s’exprime pas pleinement, il étouffe. Telle
est sa fonction. Il fait sa révolution à l’intérieur de la révolution
politique ; il est, au sein de la perturbation, l’éternel perturbateur.
Son drame, c’est d’être mis au service d’une lutte révolutionnaire, lui qui ne
peut ni ne doit composer avec les apparences d’un jour. Le poète, c’est la
révolution à l’état nu, le mouvement même de la vie dans une incessante
explosion.
Dialogue avec
Jean-Marie Serreau, dans Le Poète comme un boxeur, Seuil,
Paris, 1994
Médiathèque
de Tarentaize 20-24, rue Jo Gouttebarge
Mercredi 14 septembre
Parc du
Musée de la Mine
La CNT 42
accueille le Cinéma voyageur et nous emmène en Algérie.
Le Cinéma voyageur est un Cinéma libre et ambulant posant ses
bagages ici ou là, au gré de ses envies, pour proposer une programmation qui
émerveille, gratte et chatouille. Un autre chemin dans les méandres d’un
système où l’image et la création sont devenues des objets de consommation. Le
Cinéma Voyageur projette des films de libre diffusion, et invite à l’échange
d’expériences, de points de vue, de questionnements, dans une atmosphère
intimiste sous le chapiteau, sur le trottoir d’à coté ou autour d’un repas
partagé.
15
h : projections de films pour enfants et goûter
Chants
soufis, berbères et français.
20
h : projection de Chantier
A et débat
"Kateb Yacine et l'Algérie"
C'est le voyage de Karim qui n'était pas rentré chez lui depuis dix ans. Un
retour en forme d'aller, pas simple. L'Algérie. Avant qu'il oublie,
retrouver les raisons de son départ, le grand exode, la maison qui brûle. Mais
les mots se sont fait aspirer dans un temps incertain, celui du mouvement qui
permet de s'ancrer. Quelque part.
Un repas
prix libre précédera la projection du film.
Parc du Musée de la Mine 3, boulevard Maréchal Franchet D'Espèrey
Chok
Théâtre
20 h 30 :
lecture musicale avec Dominique Lentin, Françoise Basset et Émilie Weiss.
Entrée prix libre
Chok
Théâtre 24, rue Bernard Palissy
Le vrai poète, même dans un courant progressiste, doit manifester ses désaccords. S’il ne s’exprime pas pleinement, il étouffe. Telle est sa fonction. Il fait sa révolution à l’intérieur de la révolution politique ; il est, au sein de la perturbation, l’éternel perturbateur. Son drame, c’est d’être mis au service d’une lutte révolutionnaire, lui qui ne peut ni ne doit composer avec les apparences d’un jour. Le poète, c’est la révolution à l’état nu, le mouvement même de la vie dans une incessante explosion.
Dialogue avec Jean-Marie Serreau, dans Le Poète comme un boxeur, Seuil, Paris, 1994
Jeudi 15
septembre
Globe
42, Espace Social et de Santé Participatif
12 h :
repas et rencontre autour de l’œuvre et de la figure de Kateb Yacine
Repas sur réservation : 3 € l'assiette
Globe 42 1, rue de la Mulatière // Réservations : asso.globe@gmail.com
Librairie
Lune & l'Autre
19 h : lecture
ping-pong (français/arabe) de Poèmes
en paysages et Poèmes du soir
Recueils parus aux éditions Le Port a jauni. Les voix de
Géraldine Hérédia, auteure des ouvrages et de Georges Daaboul, traducteur
syrien, se répondront et s'entrecroiseront pour nous faire entendre les poèmes
en français et en arabe et des mots de paysages de Kateb Yacine.
Exposition des illustrations réalisées par Clothilde Staës à partir
du 1er septembre.
Librairie
Lune & l’Autre 19, rue Pierre Bérard
Au
Monto'Zar
Ouverture des portes à 19 h 30 : lecture et discussion
Frère en enfer : lecture avec Lyes
Kouach
Lecture
mise en espace par Anaïs Cintas d'après L'Œuvre
en fragments, inédits littéraires et textes
retrouvés, rassemblés et présentés par Jacqueline Arnaud et Le
Poète comme un boxeur, entretiens 1958-1989.
A travers
les extraits de deux textes nous poserons les questions de
l'engagement. L’engament politique et... amoureux. Le
Poète comme un boxeur dévoile l'homme d'action, le journaliste, le
militant à travers des entretiens. L’œuvre
en fragments effeuille son coté "brûlot" : il n'a cessé
de brûler d'amour pour Nedjma, l’étoile elle-même, une et plurielle,
à la fois étoile-nation et étoile-femme.
Buffet, participation libre
Le
Monto’Zar Saint-Genest-Malifaux
Key West
21 h : concert surprise
Tarif solidaire : 3 €
Le Key West 7, rue de la Ville
Frère en enfer : lecture avec Lyes Kouach
Buffet, participation libre
Key West
21 h : concert surprise
Tarif solidaire : 3 €
Le Key West 7, rue de la Ville
Vendredi 16 septembre
Bar les Acacias
17 h :
Projection de Mémoires en
chantier, film documentaire de Catherine Gauthier
Situé en
Petite Kabylie, Timzerit entretient des liens très étroits avec Saint-Etienne
au travers du vaste mouvement de migration de ses hommes, venus ici pour
travailler à la mine. Catherine Gauthier sociologue-anthropologue et membre du
Centre Max Weber, leur donne la parole.
La projection sera suivie d'une discussion en
présence de la réalisatrice, Le rôle des travailleurs dans
leur processus d’émancipation chez Kateb Yacine et d'une lecture
musicale.
Entrée prix libre
Les
Acacias 8, avenue Emile Loubet
Le
Clapier
21
h : Concerts
Les Enfants de pas sage invitent Calle Sol et La Cafetera Roja
Tarif : 12 € avec une concommation incluse
Exposition
de Stéphane Montmailler
Le
Clapier 2, boulevard Pierre Mendès France
Entrée prix libre
Les Enfants de pas sage invitent Calle Sol et La Cafetera Roja
Tarif : 12 € avec une concommation incluse
Samedi 17 septembre
La
Gueule noire
12
h : le petit resto de la Gueule noire
Repas
prix libre aux saveurs de l’Afrique du nord
Exposition d'Émilie
Weiss et Nathalie Ambroise
La Gueule
noire 16, rue du Mont
Chok
Théâtre
16 h :
projections et scène publique : Mémoire de la militance et actualité de
la figure de Kateb Yacine dans l'espace public
Kateb, qui
signifie « écrivain » en arabe, était issu d’une famille de lettrés de la tribu
des Keblout du Nadhor (Est algérien). Le 8 mai 1945 — il n’a pas encore 16 ans
—, il participe aux soulèvements populaires du Constantinois pour l’indépendance.
Arrêté à Sétif, il est incarcéré durant trois mois à la suite de la répression,
qui fait quarante-cinq mille morts. Aussi
libre et libertaire, insolente et provocante, indéchiffrable et éblouissante
que son œuvre, fut la vie de Kateb. Militant de toute son âme pour
l’indépendance, au sein du Parti populaire algérien, puis du Parti communiste,
il s’engage avant tout avec les « damnés de la terre », dont il est avide de
connaître et faire entendre les combats : « Pour atteindre l’horizon du monde,
on doit parler de la Palestine, évoquer le Vietnam en passant par le Maghreb.
» .
DA SILVA, Marina. Kateb Yacine, l'éternel
perturbateur. Le Monde diplomatique,
novembre 2009, p. 31. Disponiblesur https://www.monde-diplomatique.fr/2009/11/DA_SILVA/18424
Projection de Ils ont rejoint le front pour
libérer l'Algérie de Jean
Asselmeyer, réalisateur et directeur du Panorama du cinéma algérien
Dans ce
film, quatre grands témoins, qui vivent aujourd’hui en Algérie, en tant qu’Algériens
à part entière, nous montrent ce qu’a réellement été cette colonisation si
"bénéfique" qu’ils ont, eux, perçue comme l’oppression d’un peuple par
un autre. Trois d’entre eux, que l’on appellerait aujourd’hui "pieds
noirs", autrement dit ces Européens à qui la France, puissance occupante,
a donné les meilleures terres, prises aux populations autochtones, du travail,
et des droits exclusifs, non partagés par l’ensemble de la population, vivaient
plutôt bien par rapport à la majorité des "indigènes". Le quatrième,
lui se trouvait bien loin de tout cela et vivait en Argentine. Annie Steiner,
Felix Colozzi, Pierre Chaulet et Roberto Muniz nous expliquent ce qui les a
amenés à se solidariser avec le combat des faibles, des humiliés et à risquer
leur liberté et leur vie en s’engageant pour libérer l’Algérie.
Et de Kaïros de
François Hien, réalisateur
Hana, militante
active, organise des conférences pour alerter l'occident sur l'état de l'Irak
sous occupation américaine. Occupée à défendre un pays où elle ne pouvait se
rendre, elle se sentait prisonnière d'une actualité accablante.
En
janvier 2011, François Hien la rejoint au Caire alors que le pays gronde de sa
révolution à venir. Le bouleversement inouï qui se déploie les jours suivants
va tout changer pour Hana. Et c'est pour des raisons politiques qu'elle va se
détacher du militantisme.
Portrait
dans le temps d'une jeune femme traversée par la politique, Kaïros,
documentaire de François Hien, traque les résonances intimes d'un événement
suivi par le monde entier.
Les
projections seront suivies d’une scène publique en présence des
réalisateurs et Dominique Belkis, anthropologue, Maître de Conférence à
l'Université Jean Monnet et chercheure au Centre Max Weber, Marina da Silva,
journaliste et Dominique Villaeys-Poirré.
20 h 30 : représentation de Puits-Hamelin : théâtre lyrico-documentaire de François Hien
Entrée prix libre
Chok
Théâtre 24, rue Bernard Palissy
Exposition d'Émilie
Weiss et Nathalie Ambroise
La Gueule
noire 16, rue du Mont
Kateb, qui signifie « écrivain » en arabe, était issu d’une famille de lettrés de la tribu des Keblout du Nadhor (Est algérien). Le 8 mai 1945 — il n’a pas encore 16 ans —, il participe aux soulèvements populaires du Constantinois pour l’indépendance. Arrêté à Sétif, il est incarcéré durant trois mois à la suite de la répression, qui fait quarante-cinq mille morts. Aussi libre et libertaire, insolente et provocante, indéchiffrable et éblouissante que son œuvre, fut la vie de Kateb. Militant de toute son âme pour l’indépendance, au sein du Parti populaire algérien, puis du Parti communiste, il s’engage avant tout avec les « damnés de la terre », dont il est avide de connaître et faire entendre les combats : « Pour atteindre l’horizon du monde, on doit parler de la Palestine, évoquer le Vietnam en passant par le Maghreb. » .
Entrée prix libre
Dimanche 18 septembre
Petit
Théâtre de Montaud
11 h :
Poésie de Kateb Yacine et chants berbères
Rencontre
entre les compagnies de théâtre amateur Mont'ô Rêves et Les
Tapepastroisfois autour de la
poésie de Kateb Yacine.
Pique nique partagé, chants et discussion sous l'arbre.
Le Petit
Théâtre de Montaud / Théâtre de Verdure 18, rue Benoît Frachon
Chok
Théâtre
15 h : représentation de Puits-Hamelin : théâtre
lyrico-documentaire
La
représentation sera suivie d'un débat Histoire, Théâtre, Langues et
Politique : avec
François Hien, metteur en scène, Marina
da Silva, journaliste.
Le théâtre est un théâtre de combat : dans la lutte des classes, on ne
choisit pas son arme. Le théâtre est la nôtre. Il ne peut pas être discours,
nous vivons devant le peuple ce qu’il a vécu, nous brassons mille expériences
en une seule, nous poussons plus loin et c’est tout. Nous sommes des apprentis
de la vie.
Colette Godard, « Le théâtre algérien de
Kateb Yacine », Le Monde, 11 septembre 1975.
18 h 30 :
projections proposées par Jean Asselmeyer, réalisateur
et directeur du Panorama du cinéma algérien entremêlées de discussions - débats
Déjà le
sang de Mai ensemençait Novembre de René Vautier
L’histoire de l’Algérie d’avant 1830, au 8 mai 1945 avec
Kateb Yacine, Albert Camus et bien d’autres. A rebours de toutes les idées
reçus, le film montre la réalité d’un pays, qui avant la colonisation avait
atteint le niveau de développement de bien des pays européens. Il montre aussi
les réalités cachées de la pratique coloniale. Il s’achève sur le massacre du 8
mai 1945, prélude à l’insurrection de novembre 1954.
Mémoires
du 8 mai 45 de Mariem Hamidat
Le 8 mai
1945, à Sétif, petite ville de l'Est algérien, on fête l'armistice. Dans le
cortège, parmi les drapeaux alliés surgit un drapeau algérien, symbole
d'indépendance. La police tire sur la foule. C'est l'émeute. Dans toute la
région, la répression menée par l'armée française va faire des milliers de victimes.
Ce film documentaire est riche en témoignages de personnes ayant vécu le drame
du 8 mai 1945 dans plusieurs villes de la région de Sétif, et de certaines
personnalités comme le président de la fondation 8 mai 1945 Bachir Boumaza et
le journaliste américain Landrum Bolling qui était sur place le jour des
massacres.
Ils ont
choisis l'Algérie de Jean Asselmeyer
Beaucoup ont participé à la lutte pour l’indépendance
de l’Algérie.
Il y a «
ceux qui croyaient au ciel », prêtres, chrétiens engagés contre la torture,
amis des « indigènes », il y a « ceux qui n’y croyaient pas », militants
communistes, étudiants, intellectuels progressistes, d’autres sont restés dans
ce pays parce qu’ils ne concevaient pas de vivre ailleurs que sur cette terre
de toutes les passions. Le film de Jean Asselmeyer nous livre des témoignages
poignants, illustrés par des documents d'archives inédits
Débats ou
discussions en présence de Jean Asselmeyer, Hélène Amblard, auteure et journaliste et Dominique Villaeys-Poirré : la voix de Rosa Luxemburg sur la colonisation en général et celle de l'Algérie en particulier.
Entrée prix libre
Chok Théâtre 24, rue Bernard Palissy
Pique nique partagé, chants et discussion sous l'arbre.
Entrée prix libre
Mardi 20 septembre
Key West
19
h : lecture musicale proposée par Romuald Bailly et Athman Dahmani d'après Le Polygone étoilé, soutenus par la Black A Connexion.
Dans une suite de poèmes, de dialogues et de rêveries, Kateb Yacine mêle les thèmes essentiels de sa vie et de l’histoire de l’Algérie : la douleur de la colonisation, le lien maternel, le pouvoir des mots et les charmes de Nedjma, dessinant progressivement la figure du « polygone étoilé ». Au carrefour du roman, de la poésie et du théâtre, ce livre est au coeur de la littérature algérienne moderne.
Entrée prix libre
Le Key
West 7, rue de la Ville
Dans une suite de poèmes, de dialogues et de rêveries, Kateb Yacine mêle les thèmes essentiels de sa vie et de l’histoire de l’Algérie : la douleur de la colonisation, le lien maternel, le pouvoir des mots et les charmes de Nedjma, dessinant progressivement la figure du « polygone étoilé ». Au carrefour du roman, de la poésie et du théâtre, ce livre est au coeur de la littérature algérienne moderne.
Mercredi 21 septembre
La
Dérive
19 h : cut up de
voix katebisantes en trois langues : poésie, théâtre, entretiens et
analyses.
La
lecture sera suivie d’une discussion.
Entrée prix libre
La Dérive 91, rue
Antoine Durafour
Chez
Lulu
20 h
30 : repas aux saveurs de l'Algérie et lecture musicale avec Dominique Lentin, Françoise Basset et Émilie Weiss.
Repas sur
réservation / 5 € l'assiette
Entrée prix libre
Chez Lulu 3, rue du
Jeu de l’Arc // Réservations : asso.elli@gmail.com
Jeudi 22 septembre
L'Heure
des Thés
19
h : lecture participative : le théâtre de Kateb Yacine
Entrée prix libre
L’Heure
de Thés 4, rue des Creuses
Ramina
Grobis
21 h
30 : A no(s)tre ami(s) : Ce n'est qu'un combat, continuons le
début !
Analyse
et guide pratique partial et incomplet des organisations nécessaires pour les
combats à venir en musique.
Par La Loutre cosmique.
Guitare : Frédérik Fender / Voix : Olive Says
Entrée prix libre
Le Ramina
Grobis 15, rue Georges Dupré
Vendredi 23 septembre
Le
Clapier
Ouverture
des portes 19 h : soirée de soutien à la quinzaine
Tarif solidaire : 5 €
Projections
/ Exposition / Performance / Concerts
Buffet, partcipation libre
Projections suivies d'une rencontre avec les réalisateurs et Dominique Villaeys-Poirré.
Kateb Yacine, poète en trois langues
Documentaire
Réalisation : Stéphane Gatti. Avec Kateb
Yacine
Production: La Parole errante.
Décédé en exil à Grenoble, Kateb Yacine est inhumé en Kabylie un
an après le soulèvement de la jeunesse. Dans le cortège où figurent des
étudiants en lutte et des amis qui seront assassinés au cours de la décennie
suivante, on chante l’Internationale en tamazight. Ces images tournées par
Jean-Pierre Lledo encadrent une longue interview où l’écrivain – poète,
romancier et dramaturge – retrace les étapes de sa prise de conscience.
Sociologie de comptoirs, cafés cosmopolites
Film
documentaire
Réalisation
: Catherine Gauthier
Catherine Gauthier a poussé les
portes des cafés de quartiers stéphanois, s'intéressant à la place que tiennent
ces lieux "ordinaires" dans les sociabilités populaires et les
parcours migratoires.
Exposition
et performance de Stéphane Montmailler
Lecture musicale avec Dominique Lentin, Françoise Basset et Émilie Weiss.
Concerts
:
Les Vulvet underground, Isnaguen (musique berbère), Monsieur
Bidon, Spoir, Eska, Dr Kyle.
Et en soutien à la quinzaine : la Black A Connexion.
Le
Clapier 2, boulevard Pierre Mendès France
Buffet, partcipation libre
Et en soutien à la quinzaine : la Black A Connexion.
Samedi 24 septembre
La
Taverne
12
h : scène ouverte emmenée par Monsieur Bidon : venez avec des textes, ceux de Kateb Yacine, les vôtres, vos instruments, tout ce que vous voudrez et tout ça, dans la bonne humeur !
La
Taverne 7, cours Victor Hugo
Association Numidya
9 h : cours de cuisine de recettes traditionnelles
berbères
Sur
inscription / Tarif : 10 €
Contact : association.numidya@gmail.com / Tél. : 06 62 96 02 62
Association Numidya
9 h : cours de cuisine de recettes traditionnelles
berbères
Sur
inscription / Tarif : 10 €
Association Numidya 3, rue Méhul
Chok Théâtre
18 h
: lecture
musicale et rencontre(s)
Sur les traces de
Kateb Yacine ave Dominique Villaeys-Poirré et Abdelkader
Djemaï.
Abdelkader Djemaï, né à Oran en 1948, est un écrivain d'origine algérienne qui vit en France depuis 1993. Il est l’un des grands écrivains algériens de langue française. Son œuvre est prolifique et son talent reconnu par la critique.
Depuis 2008, Dominique Villaeys-Poirré anime un blog de réflexion et d'information, "Comprendre avec Rosa Luxemburg". Elle participe au collectif de traduction de ses oeuvres en français par Les éditions Agone et le Collectif Smolny.
Comme un écho d'une quinzaine à l'autre : la voix de Rosa Luxemburg sur la colonisation en général et celle de l'Algérie en particulier. Entendre-écouter ses analyses à la fois sensibles et réfléchies du colonialisme, qui ont permis à Rosa Luxemburg et à son courant de pensée de comprendre les dessous de la colonisation, de les dénoncer et de les combattre.
Association Numidya 3, rue Méhul
18 h : lecture musicale et rencontre(s)
Sur les traces de Kateb Yacine ave Dominique Villaeys-Poirré et Abdelkader Djemaï.
Abdelkader Djemaï, né à Oran en 1948, est un écrivain d'origine algérienne qui vit en France depuis 1993. Il est l’un des grands écrivains algériens de langue française. Son œuvre est prolifique et son talent reconnu par la critique.
Depuis 2008, Dominique Villaeys-Poirré anime un blog de réflexion et d'information, "Comprendre avec Rosa Luxemburg". Elle participe au collectif de traduction de ses oeuvres en français par Les éditions Agone et le Collectif Smolny.
Comme un écho d'une quinzaine à l'autre : la voix de Rosa Luxemburg sur la colonisation en général et celle de l'Algérie en particulier. Entendre-écouter ses analyses à la fois sensibles et réfléchies du colonialisme, qui ont permis à Rosa Luxemburg et à son courant de pensée de comprendre les dessous de la colonisation, de les dénoncer et de les combattre.
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