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Notre théâtre est un théâtre de combat, dans la lutte des classes, on ne choisit pas son arme. Le théâtre est la nôtre. Il ne peut pas être discours, nous vivons devant le peuple ce qu'il a vécu, nous brassons mille expériences en une seule, nous poussons plus loin et c'est tout. Nous sommes des apprentis de la vie. Nous attaquons, nous nous défendons, c'est une forme d'action qui s'impose, une forme d'action politique, dans la ligne de la révolution, nous rencontrons des obstacles, un écrivain qui veut combattre doit connaître des ennemis (… ) mais ce que nous faisons est vital : nous créons le débat idéologique sans lequel toute révolution n'est qu'un exercice militaire.
Colette Godard, «Le théâtre algérien de Kateb Yacine», Le Monde, n° 9528, 11 septembre
1975.
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